Séminaire - Boccace numérique Réflexions sur une édition numérique de Boccace latin et vulgaire et de ses traductions françaises (XVe-XVIe siècles)
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Date(s)
le 25 janvier 2019
Lieu(x)
Site CESR (Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance)
Salle Saint-Martin
Séminaire organisé par Sabrina Ferrara (Université de Tours / CESR)
Programme
10h Sabrina Ferrara (Université de Tours/CESR)
Introduction au projet d’édition numérique de Boccace
10h30 Gabriel Bianciotto (Université de Poitiers/CESCM)
De la variété des problèmes dans l’édition de traductions médiévales
11h Igor Candido (Trinity College, Dublin)
Preliminary Observations on a new bilingual edition of Boccaccio’s Decameron
11h30 Frank La Brasca (Université de Tours/CESR)
Le latin de Boccace pour une nouvelle édition bilingue entre médiévalismes et innovations pré-humanistes
12h Quels textes pour une édition numérique de Boccace ?
Débat avec Renzo Bragantini (Sapienza Università di Roma), Igor Candido (Trinity College, Dublin), Philippe Guérin (Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris 3), Frank La Brasca (Université de Tours/CESR), Silvère Menegaldo (Université de Tours/CESR), Anne Robin (Université de Lille), Alberto Roncaccia (Université de Lausanne), Antonio Sotgiu (Université de la Sorbonne Nouvelle – Paris 3), Pierre-Marie Joris (Université de Poitiers/CESCM) et avec les interventions en visioconférence de Claudia Zudini (Rennes 2) et Enrica Zanin (Strasbourg)
12h45 Déjeuner
14h30 Alberto Roncaccia (Université de Lausanne)
Paradigmes et modèles pour une édition numérique de Boccace
15h Construction d’une structure de l’édition numérique de Boccace
Table ronde avec Jorge Fins, ingénieur d’études spécialiste du traitement de données intertextuelles (MSH Val de Loire), Laurence Rageot, coordinatrice de l’atelier numérique, (MSH Val de Loire) et l’intervention en visioconférence de Davide Picca (Université de Lausanne)
16h Réfléchir sur l’avancement du projet BoNHum
avec Mélanie Fauconnier, chargée d’affaires Sciences Humaines et Sociales (Université de Tours) et Marie-Laure Masquilier (CNRS/CESR)